lundi 24 mars 2014

Biodiversité

Biodiversité:


La biodiversité c'est l'ensemble de tous les organismes vivants.La biodiversité qui est étroitement liée à la Nature participe étroitement à la vie sur Terre. Bien que son apport soit relativement intuitif (eau potable, air pur, habitat/abri naturel, etc.), elle est de toute évidence l'élément central de toute les formes de vie sur terre.





Préserver la biodiversité, c'est avant tout protéger les 

écosystèmes

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dimanche 24 novembre 2013

Urdaibai

Urdaibai Bird Center à de nombreux projets visant à approfondir les connaissances sur les oiseaux et leurs habitats dans la Réserve de biosphère d'Urdaibai sont faites. Ces projets communs sont organisés autour des lignes générales de la recherche sont les suivants:

- Migration: Urdaibai est situé dans l'une des plus importantes voies de migration des oiseaux en Europe, ce qui est pourquoi il est un lieu d'intérêt particulier pour l'étude des migrations des oiseaux.

En Urdaibai tu peut trouver beaucoup des oiseaux:

ESPAGNOL                          FRANÇAIS:                                        LATIN:                                    

Cormoran Negro                     Grand Cormoran                                       Phalacrocorax carbo                   

Martin pescador                                                                                      Alcedo atthis                       


Garza boyera                                                                                          Bubulcus Icis 


Espatula Blanca                      Spatule Blanche                                  Platale Leucorodia


Les améliorations de l'environnement ont été élaborés dans le marais Orueta provoqué un changement dans la qualité de l'habitat a été très bon pour les oiseaux, et dans un court laps de temps de nombreuses espèces d'oiseaux ne sont pas présents dans la région ont procédé à la recolonisation. En outre, la reprise rapide du cycle biologique de la zone humide après la restauration, ainsi que l'excellent état de tranquillité apprécié par les oiseaux, a facilité la présence d'une communauté de plus en plus grand des oiseaux intéressants et même bizarreries. Au cours des deux dernières années ont été observées de 200 espèces différentes d'oiseaux dans les zones humides et ses environs.

dimanche 3 novembre 2013

L'écosystème du marais d'Urdaibai



La diversité des environnements qui peuvent être trouvés dans le 220,3 km2 enclave protégée occupante est large, et sa topographie est très complexe . Il a un littoral baigné par la mer Cantabrique , et un arrière-pays montagneux . Tous deux connectés à un réseau fluvial bien développé. Cela rendra possible l'existence de nombreuses espèces de plantes , champignons , animaux, etc En outre, l'influence humaine est partout très important. Ainsi, la diversité des écosystèmes dans un si petit espace est également importante. Lors de ce voyage , nous allons effectuer dans la direction opposée pour commencer à déplacer l'eau sous les mers. Par la suite, nous allons entrer dans l'écosystème côtier terrestre composé marais Urdaibai , des dunes et des falaises côtières. Nous laisserons de côté l'influence de la saline de l'eau de mer pour nous introduire à la connaissance de l' aulne . Une fois à l'intérieur de traverser le chêne et les deux types de chêne. Nous savons aussi ce qui arrive quand l'influence humaine est grande , par la campagne de l'Atlantique et les plantations forestières . Se terminera le voyage en mentionnant certaines des activités ou des projets réalisés par des entités différentes pour les écosystèmes ou des éléments naturalistes d'Urdaibai .(1)

Bibliographie:


Site 1:http://www.urdaibai.org/es/ekosistemak.php

La Photosyntèse


Qu'est ce que la Photosyntèse?

La chlorophylle est le principal pigment assimilateur des végétaux supérieurs.

Ce pigment, situé dans les chloroplastes des cellules végétales, intervient dans la photosynthèse pour intercepter l'énergie lumineuse. Son spectre d'absorption du rayonnement lumineux est responsable de la couleur verte des végétaux.

Grâce à la fonction chlorophyllienne les plantes sont les seuls organismes à produire de l’oxygène sur la Terre.
Les forêts en accroissement rééquilibrent ainsi le milieu en oxygène (un hectare de futaies fixe chaque année 6 à 10 tonnes de carbone et libère dans le même temps 12 à 20 tonnes d'oxygène). Les forêts sont les "poumons de la Terre", tous les animaux qui la peuplent inspirent de l'oxygène dont ils ont un besoin vital. Il y aurait donc apparemment avantage à un éclairage nocturne qui empêcherait le déficit d’oxygène dû à l’interruption de la photosynthèse la nuit.(1)



Bibliographie:

Texte 1 trouvé sur:http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20080430055432AAn1DML




video pour bien comprendre:

dimanche 13 octobre 2013

Spatule blanche

 

Nom latin:Platalea leucorodia
Nom français:Spatule blanche
Nom espagnol:Espatula blanca
Nom basque:Mokozabal zuria
Nom anglais:Eurasian spoonbil






Description

Taille : 80 à 90 cm Envergure : 115 à 130 cm Poids : 1200 à 1700 g
Elle a un long bec, large et plat en forme de spatule, noir avec l'extrémité jaune. Son plumage est blanc crème et ses pattes sont noires.

Habitat/Milieu de vie

Habite les zones humides côtières, avec étendues d'eau libre peu profonde. Niche en colonies, sur les arbres généralement, mais aussi dans la végétation palustre. 

Nourriture

La Spatule blanche se nourrit de dytiques (Dytiscidés) ou scarabées aquatiques, de libellules, de trichoptères, de sauterelles, de mouches et autres espèces d’insectes. Elle consomme aussi des crustacés, des mollusques, des vers, des sangsues, des grenouilles, des têtards et des petits poissons. Elle peut aussi consommer quelques algues.
Elle se nourrit en petits groupes en marchant dans une eau peu profonde.

Zone de nidification

Dès mars, les spatules blanches reviennent à leur site de nidification. Après les parades (toilettages mutuels, huppedressée) le couple construit un nid fait de branchettes et d'algues dans un arbre ou dans les roseaux. 3 à 5 oeufs sont pondus entre avril et mai, incubés en 24 jours. Les petits commencent à voler à 7 semaines, et sont adultes à 3 ou 4 ans. 

Zone d'hivernage

Europe de l'Ouest, Asie centrale, Golfe Persique, Inde, Sri Lanka. Côtes de l'Afrique de l'ouest jusqu'en Mauritanie, côtes de l'Afrique de l'est jusqu'en Somalie.


Bibliographie:



lundi 7 octobre 2013

Le Courlis cendré

 
 Nom latin: Numenius arquata
Nom français:Courlis cendré
Nom espagnol:Zarapito real
Nom basque: Kurlinta
Nom anglais: Courlew    


             

Description

Cendré est le plus grand limicole d’Europe. Sa longueur totale peut atteindre jusqu’à 60 cm, bec inclus. Son poids varie de 500 gr à 1,4 kg. Son envergure se situe entre 80 à 100 cm. 
Les deux sexes sont semblables au niveau du plumage. La femelle est cependant toujours plus grosse que le mâle. Il se caractérise par un très long bec recourbé vers le bas qui peut atteindre jusqu’à 19 cm. Ses pattes sont longues et grises. Le plumage du corps est beige tacheté de noir, seul le ventre est blanc. Les flancs sont blanchâtres tachetés de brun. La tête est comme le reste du plumage, brune roussâtre striée de noir. La queue est blanchâtre barrée de brun – noir. 


Habitat/Milieu de vie

Cet oiseau migrateur niche dans les zones tempérées boréales et dans les steppes allant des îles britanniques à la Russie en passant par le nord de la France, la Suisse, l’Autriche, la Hongrie, la Roumanie. 
L’hivernage s’opère sur tous les littoraux de l’ensemble de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie. 
Le courlis cendré fréquente les vasières des baies et estuaires, les côtes rocheuses en hiver, les prairies inondées, marécages, tourbières et landes au cours de la migration et en période de reproduction. 


Nourriture

Le long bec arqué du courlis cendré est tout à fait adapté à la capture des mollusques et vers marins enfouis dans le sable ou la vase. Des cellules sensibles au toucher situées à l'extrémité du bec, lui permettent de localiser et d'identifier les proies. Le courlis cendré attrape aussi aussi des crevettes et des petits poissons en eau peu profonde et capture des petits crabes dans la laisse de mer. Il utilise son bec comme une longue pince incurvée pour saisir le crabe avant de l'avaler d'un seul coup. A l'intérieur des terres, pendant la reproduction, l'espèce se nourrit d'insectes et de leurs larves, de vers de terre, d'escargots et même de petites grenouilles. En été, les courlis cendrés parcourent les patûrages à la recherches de bousiers. Après la moissons, ils fréquentent les chaumes pour ramasser les graines.

Zone de nidification

Le courlis cendré niche dans les prairies herbeuses, de préférence de faible hauteur, ce qui lui permet d'avoir une parfaite couverture visuelle de son territoire. La femelle pond en avril-mai (1 ponte annuelle), 3 à 5 oeufs beiges, bruns ou olive tachetés de brun plus foncé, qu'elle couvera alternativement avec le mâle pendant 27 à 29 jours. Le nid est généralement construit dans un endroit sec à végétation basse, garni de quelques herbes sèches ou de bruyère. Les poussins nidifuges se nourrissent seuls après quelques jours seulement mais ne prendront leur envol qu'au bout de 32 à 38 jours. C'est plutôt le mâle qui les élève. 

Zone d'hivernage

Le Courlis cendré est largement distribué dans la zone tempérée et boréale d’Eurasie, la sous-espèce nominale nichant des îles Britanniques et de la côte atlantique française à la Volga et l’Oural, remplacée plus à l’est par la sous-espèce N. a. orientalis, qui s’étend à travers le Kazakhstan jusqu’à la Mandchourie (Chine). Avec 40'000-60'000 couples, la Finlande héberge plus d’un tiers de la population européenne, dont la population continentale est très morcelée ; la Grande-Bretagne quant à elle compte 38'000-43'000 couples. La population du Paléarctique occidental hiverne de l’Islande et des îles Britanniques aux côtes de la Méditerranée et de l’Afrique du nord, à l’est jusqu’au golfe Persique et l’ouest de l’Inde.



Bibliographie:

Site 1:http://www.chassepedia.com/Sujet-Chasse/306,courlis-cendre.php

Site 2:http://www.oiseaux.net/oiseaux/courlis.cendre.html

Site 3:http://www.oiseaux.ch/articles/article.php?zetype=6&zeid=36



dimanche 29 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizcaye

Problèmes


D’origine latino-américaine, l’herbe de la Pampa sème la zizanie dans les milieux naturels sensibles du Pays Basque. Confrontés au problème de cette colonisatrice aux séduisants panaches blancs, le domaine d’Abbadia à Hendaye et le jardin botanique de Saint-Jean-de-Luz ont mis en commun connaissances et efforts pour sensibiliser le grand public au problème des espèces invasives en général.
Communément appelée Herbe de la Pampa, la Cortaderia selloana est une graminée vivace introduite en Europe pour ses qualités paysagères et ses capacités à stabiliser les sols. Après une croissance rapide, un pied peut atteindre jusqu’à 4 mètres de haut et vivre jusqu’à 10-15 ans. Il produit annuellement des milliers de graines fertiles dotées d’une sorte de plume qui va permettre au vent de les transporter aisément dans un rayon de 25 km.

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L’herbe de la Pampa fait aujourd’hui partie des 150 plantes invasives répertoriées sur l’Hexagone par les botanistes. Sont considérées comme invasives par l’Union mondiale de la Nature (UICN), les espèces exotiques, végétales ou animales, qui, implantées dans un milieu d’où elles ne sont pas naturellement issues, se reproduisent plus rapidement que les espèces endémiques. Selon l’UICN, elles seraient la troisième cause de perte de la biodiversité à travers le Monde. 

Présente au Pays Basque depuis au moins le 19ème siècle,  l’herbe de la Pampa a commencé à poser problème il y a une trentaine d’années. Une grande résistance à la plupart des parasites et des maladies, ainsi que l’absence de prédateurs, lui permettent de se développer à loisir au détriment de la flore locale, moins résistante, avec qui elle rentre en compétition directe pour les nutriments du sol, l’eau, la lumière et l’espace. D’après le conservateur du Domaine d’Abbadia, Ganix Grabières, « la plante n’est pas nocive en elle-même, même si quelques cas d’allergies ont été dénombrés. Mais pour certains milieux sensibles, son expansion est un véritable fléau ». 

Si elle rencontre quelques difficultés d’implantation là où la végétation est déjà dense, elle se plaît  dans les milieux neufs, les terrains mis à nu. Dès qu’elle a l’opportunité de s’installer, elle va prendre toute la place. Sur Abbadia, elle pose surtout problème dans la lande maritime où, selon G. Grabières, « Il n’y a pas forcément des espèces rares mais des compositions floristiques riches et originales ». On retrouve des cas similaires sur toute la Côte basque. Directrice du Jardin botanique littoral Paul Jovet à Saint-Jean-de-Luz, Jeannette Breton explique que « l’herbe de la Pampa affectionne particulièrement les falaises où des brèches s’ouvrent régulièrement, laissant les sols à nu ». L’activité humaine n’est pas non plus étrangère à la dissémination de la plante qui trouve dans les talus d’autoroutes, les ronds-points, les bords de chemin de fer et autres parcelles défrichées autant d’opportunités de colonisation.


Solutions



« On ne réussit pas à l’éradiquer. On peut juste essayer de limiter son expansion » précise G. Grabières. « En milieu isolé, le plus efficace est de la déraciner ou de la brûler car il ne suffit pas de la couper une année pour qu’elle ne repousse pas». Mais le déracinement n’est pas aisé en milieu naturel sensible où il risque de faire au moins autant de dégâts sur la flore alentour que la plante elle-même. Quant au feu, il est inconcevable sur des zones comme la lande maritime. J. Breton ajoute « qu’il a même été essayé de la mettre sous bâche pour l’étouffer… sans succès. Même privée d’eau et de lumière pendant des mois, elle est capable de repartir de plus belle ». A Abbadia comme au jardin botanique de Saint-Jean-de-Luz, on enlève donc un maximum d’inflorescences sur les spécimens en présence pour les empêcher de fleurir et de grainer. Se faisant généralement à la main, l’opération est longue et fastidieuse. 


Bibliographie



Consulté le 30/09/2013